Pourquoi la maladie de Lyme chronique n'est-elle pas prise au sérieux ?
Devant le nombre croissant de malades qui s'en réclament, les autorités sanitaires s'arc-boutent, persistant à proclamer que la maladie de Lyme reste rere, et à plus forte raison sa forme chronique, appelée depuis peu "syndrome persistant polymorphe après possible piqûre de tique".
Rare ou difficile à diagnostiquer ?
Force est de constater que l'on manque encore de beaucoup de données sur cette maladie polymorphe.
L'examen clinique n'est pas très bavard ni très concluant
Mis à part l'érythème migrant, tache rouge de 6 à 10 centimères de diamètre qui s'élargit et qui est caractéristique de la phase 1 de la maladie, aucun symptôme n'est spécifique. Cet érythème peut apparaître entre 3 et 30 jours après la morsure. C'est ce seul symptôme qui impose le traitement antibiotique (sans nécessité de faire de test sérologique).
le problème est qu'il n'est pas systématique. Vous pouvez être infecté sans qu'il n'apparaisse. Ce serait le cas d'un patient sur deux. Il n'est pas non plus toujours remarqué ni forcément pris au sérieux car il ne démange pas, ne fait pas mal.
Et il finit en tout cas par disparaitre tout seul, même si la bactérie persiste dans l'organisme. Les autres symptômes les plus courants de la phase 1 sont des états grippaux plus ou moins prononcés : fièvre, frissons, fatigue,douleurs musculaires diffuses, maux de tête...qui peuvent être attribués à beaucoup d'autres causes possibles et ne sont pas systématiques non plus.
A partir de la phase 2 de la maladie, qui commence plusieurs semaines après la morsure et dans la phase 3 (plus de six mois après la morsure), les symptômes vont dépendre de là où la bactérie est allée se loger : troubles aux articulations (arthrites au genou;...), neurologiques (douleurs, paralysies, problèmes de mémoire...);, cutanées, cardiaques, très variés et donc peu spécifiques.
Les traitements en naturopathie
Une fois formellement diagnostiqué, le traitement admis est une antibiothérapie de trois semaines qui peut suffire si la maladie a été prise en charge suffisamment tôt. Si le diagnostic a été posé en phase 3 après une longue errance médicale, il n'est pas sûr que cela suffise pour empécher les rechutes.
Le Docteur Khadir, le Pr Perronne ou le Pr Montagnier par exemple, militent ou. ont milité pour une antibiothérapie plus longue, sur cinq à douze mois, très sérieusement encadrée car un seul traitement n'est pas sans risque.
la démarche en naturopathie est différente. Plusieurs protocoles et outils ont été conçus pour rendre à l'organisme les moyens d'"affronter efficacement les pathogènes, comme le protocole du Dr Klinghardt ou le programme de support Cowden. Tous reposent sur une démarche globale et personnalisée visant à :
1. Détoxifier l'organisme (des métaux lourds, biotoxines et autres polluants). L'idée est de mettre de la vigueur dans le système immunitaire.
2. Restaurer les processus physiologiques affaiblis en comblant les carences nutritionnelles, en luttant contre l'inflammation chronique, en rétablissant une barrière intestinale efficiente, en corrigeant une acidose tissulaire latente.
3. Lutter contre les bactéries et germes pathogènes avec des actifs naturels.
4. Restaurer l'efficacité du système immunitaire.
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J’ai vu madame Granieri pour une thérapie. Elle m’a accompagné individuellement car je me sentais très mal. Nos séances m’ont permis de retrouver très vite confiance en moi, j’ai ressenti une vraie transformation et je lui en suis reconnaissant. Ce travail sur moi est une vraie bénédiction, une découverte de mes ressources que j’ignorais je continue avec assiduité nos séances. Je vous la recommande sans hésitation. Yoan Deygas
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